En attendant Godot, de Samuel Beckett, mise en scène par Jean-Pierre Vincent [Marseille, Théâtre du Gymnase] – janvier 2015
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Articles
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Jean-Pierre Vincent | Vanité du théâtre glorieux
23 avril 2015, par arnaud maïsetti -
les présages du possible
30 août 2018, par arnaud maïsetti30 août 2018
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et exister et mourir
20 janvier 2019, par arnaud maïsetti20 janvier 2019
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l’envers du deuil
14 septembre 2019, par arnaud maïsetti15 septembre 2019
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Octave Noire | Un nouveau monde
8 mars 2017, par arnaud maïsettiune seconde
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Jrnl | Contemporain de la vision qu’il permettait
14 décembre 2023, par arnaud maïsettiJeudi 14 décembre 2023
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Thomas Ostermeier | L’illusion d’un théâtre à prétention politique
25 novembre 2019, par arnaud maïsettiRetour à Reims, de Didier Éribon, mise en scène par Thomas Ostermeier [Marseille, La Criée] – octobre 2019
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légendes de mes corps morts (ciel noir d’images)
24 janvier 2014, par arnaud maïsetti(Puisque ces jours sont impossibles, qu’à courir après eux je n’ai le temps d’arracher un peu de temps qu’en silence, entre deux trajets, et c’est seulement là, dans un bus, un train, une marche d’un bout à l’autre de la ville, que je peux écrire, intérieurement, les pages que je n’écrirai jamais sur des pages, mais ces pages je les porte en moi davantage peut-être que celles que j’ai écrites, alors je l’accepte.
Au temps j’arrache quelques images dont je rêve la légende, silencieuse, (…) -
la possibilité de faire un commencement
26 avril 2020, par arnaud maïsetti26 avril 2020
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ne serait-ce qu’implorer son rêve,
22 avril 2020, par arnaud maïsetti22 avril 2020
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à travers les laideurs, belle la nuit qui demeure
8 décembre 2014, par arnaud maïsettiCe qu’il faut, […] c’est sentir comme on regarde, penser comme l’on marche, et, à l’article de la mort, se souvenir que le jour meurt, que le couchant est beau, et belle la nuit qui demeure... Pessoa, Le Gardeur de troupeaux et autres poèmes, trad. Armand Guibert, p.71, NRF — Poésie/Gallimard Descendre jusqu’au soir — la journée comme cette pente, en haut de Saint-Charles, qui laisse voir toute la ville coulée à nos pieds ; mais ce qu’on voit d’abord, c’est la colline où domine Notre-Dame, (…)
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se regarder comme quelque chose d’étranger
20 avril 2020, par arnaud maïsetti20 avril 2020
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Mihi cura futuri (et le ciel féroce)
16 février 2014, par arnaud maïsettirien d’autre que les pensées adressées.
sur ce toit quand je suis remonté tout à l’heure, j’ai revu le ciel, celui du soir hier qui tombait, et je suis resté là, un peu.
Le ciel est un tableau noir sinistrement effacé de minute en minute par le vent, écrivait à peu près Breton ; je sais que le ciel écrit aussi lentement l’effacement pour que je puisse voir à travers les lettres.
ce qui est précieux : tout ce que je possède est ce qui ne m’appartient pas, qui est loin maintenant — dans (…) -
ce qui fait brèche dans le cours réglé du désastre
21 avril 2017, par arnaud maïsetti21 avril
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que le commencement
1er février 2019, par arnaud maïsetti1er février 2019
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l’automne, disent-ils
29 août 2016, par arnaud maïsetti[/L’automne, déjà ! – Mais pourquoi regretter un éternel soleil, si nous sommes engagés à la découverte de la clarté divine, – loin des gens qui meurent sur les saisons.
Rimb./] Ils appelaient ces jours la rentrée. Ils oubliaient que le mot porte en lui la mélancolie des soleils couchants tard dans le soir de l’été, et le chagrin des enfants qui recommenceront à partir de septembre à compter le temps jusqu’au dimanche, éperdus qu’ils étaient à vivre dans l’éternité du soleil brûlant – ils (…) -
comme le feu se relève
18 décembre 2018, par arnaud maïsetti18 décembre 2018
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dans l’écriture des jours d’oubli
13 mars 2016, par arnaud maïsettiLe cœur humain est né pour la faiblesse, Et l’héroïsme est un joug qui l’oppresse.
Saint-Just, Organt, 1789 (poème lubrique) Images : vers Marseilleveyre, les arbres tendent leurs branches vers le sommet du ciel
Ce soir, la nuit tombe sur toute la semaine — et sur les précédentes, de tout son poids, de toute sa hauteur de nuit. Je relis le long poème de Saint-Just, évidemment illisible, débordant de tout un désir de littérature, un désir de désir qui l’entrave ; et l’ombre invisible de (…) -
Nuit Debout | Marseille
8 avril 2016, par arnaud maïsetti36 mars
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Nos bras s’écarteraient-ils si nous tournions sur nous-mêmes dans un univers vide
18 avril 2018, par arnaud maïsettiUne expérience de pensée en physique, tout le monde voit à peu près ce que c’est : un petit laboratoire mental, un protocole intuitif qui permet de tester des hypothèses autrement inatteignables. Si la pomme pénétrait à travers la Terre, ne décrirait-elle pas autour de celle-ci une ellipse écrasée dont l’orbite de la Lune n’est que la version dépliée ? Si nos pieds touchent le sol d’un ascenseur est-ce parce que la Terre nous attire ou parce que celui-ci accélère ? Nos bras (…)