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_Marseille
Articles
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La Ville écrite | l’esprit qui dit
28 janvier 2017, par arnaud maïsetti -
nos solitudes agrandies (quelqu’un manque)
28 janvier 2016, par arnaud maïsettile deuil Emmanuel Darley
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c’était marcher
16 octobre 2016, par arnaud maïsettiLa crevaison pour le monde qui va. C’est la vraie marche. En avant, route !
Rimb.
Bob Dylan, Ain’t talkin’ (Modern Times, 2006) Seulement marcher – c’était, dans le contre-jour en descendant la Canebière, le mouvement, l’allure, l’aveuglement aussi, et la pulsation : face au jour qui s’effondrait de si haut, brûler ces jours. En fins de semaine, se retourner sur les causes d’un dimanche est toujours décevant : lundi, mardi, mercredi et fatalement jusqu’à cette ombre-là jetée devant soi (…) -
dans les haies d’Ajloun
6 octobre 2019, par arnaud maïsetti6 octobre 2019
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fuir la peste, organiser les rencontres,
5 juin 2019, par arnaud maïsetti6 juin 2019
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au-delà des fondations, la terre nue
9 avril 2020, par arnaud maïsetti9 avril 2020
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la seule souffrance que tu puisses éviter
13 avril 2020, par arnaud maïsetti13 avril 2020
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spectres, signe des temps
23 mars 2017, par arnaud maïsetti23 mars
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considérant d’ici la situation historique
31 juillet 2017, par arnaud maïsettiEt me voici, prophète à la tempe plus pure que les miroirs, enchaîné par les lueurs de mon histoire, couvert d’amours glaçants, en proie aux fantasmagories de la baguette brisée et demandant que par pitié, d’un seul brillant final, on me ramène à la vie.
André Breton, Poisson soluble (1924) Bob Dylan, Things have changed (2000)
Dans l’incertitude : prendre des forces depuis l’état impermanent des choses. Alors, dans le flux et reflux immobiles des événements, tâcher d’en épouser à la (…) -
2016 | Un récit, Quand la nuit vient
3 janvier 2018, par arnaud maïsettic’est ce qui explique la nuit qu’on soit seul.
(Marseille, avril - mai 2016) -
Respiration #1 | au pied de
17 juin 2017, par arnaud maïsettiMarseille, Massif de Marseilleveyre
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la main enchantée capable d’entrer dans la machinerie
25 avril 2020, par arnaud maïsetti25 avril 2020
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chaque nuit la page consentie
26 avril 2021, par arnaud maïsetti26 avril 2021
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The National | Light Years
15 mai 2019, par arnaud maïsettiaway from you
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tenir le fil
22 mai 2019, par arnaud maïsetti22 mai 2019
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La Ville écrite | interdie
21 août 2017, par arnaud maïsettià l’insurrection de la langue
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rentrer dans la beauté terrible de cette nuit
7 novembre 2014, par arnaud maïsettiDehors, quelque part entre Aix et la mer, rentrer vers Marseille parmi d’autres et au milieu d’autres rentrant le soir par la route, la voiture remonte vers la mer — je sais bien qu’elle y descend plutôt, mais j’ai toujours cette impression, venant du nord, d’y monter. Nuit très noire, plus noire encore à cause de la brume, du froid nouveau sur ces terres qui après six mois de chaleur soudain vont geler. Phares rouges tout autour de moi, collines qu’on ne voit plus ; entre deux virages on (…)
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Aragon | J’arrive où je suis étranger
29 mars 2016, par arnaud maïsettiRien n’est précaire comme vivre
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Passage Mc Kay : Marseille, le poète, le migrant et l’oubli
18 juin 2015, par arnaud maïsettiIf we must die, let it not be like hogs Hunted and penned in an inglorious spot, While round us bark the mad and hungry dogs, Making their mock at our accurséd lot. If we must die, O let us nobly die, So that our precious blood may not be shed In vain ; then even the monsters we defy Shall be constrained to honor us though dead ! O, kinsmen ! we must meet the common foe ! Though far outnumbered let us show us brave, And for their thousand blows deal one death-blow ! What though before us (…)
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La Ville écrite | détruisons
4 septembre 2016, par arnaud maïsettitout ce qui nous empêche de vivre