Théâtre
Esse que
décembre 2016
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Articles
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Layla, à présent je suis au fond du monde, avec Jérémie Scheidler | Éditions Esse Que
20 décembre 2016, par arnaud maïsetti -
Colloque à Lyon | « L’indiscipline dramaturgique »
22 mars 2019, par arnaud maïsettiColloque à Lyon
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Jean-Michel Rabeux | Mourir de son vivant
21 juin 2012, par arnaud maïsettiLes Quatre Jumelles, de Copi, par Jean-Michel Rameux [Paris, Théâtre de la Bastille] – juin 2012
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couloir du jour (en traverser chaque seconde)
9 décembre 2013, par arnaud maïsettiLa lumière, c’est la même que pour le premier jour, une folie. Impossible de se lever en disant : encore une fois. Il y a seulement ce sentiment étrange qui relie à plus qu’à soi et devant lequel seulement la reconnaissance d’être un vivant — ce qu’avant on nommait : rendre grâce, mais désormais qu’on est seul dans l’ordre des choses, se dire simplement qu’on se tient dessous cela, et au-devant du jour si grand — on pense lentement à ceux qui ne vont pas voir la nuit, à ceux qui la passeront pour leur (...)
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Koltès | 1983, Combat… une rencontre avec Chéreau
21 août 2017, par arnaud maïsettile cri des gardes
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Le Client #13 | « Eh bien je vous propose l’égalité. »
12 août 2013par risque, par espérance, par distraction, par hasard.
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Le Client #15 | « Je ne crains pas de me battre, »
14 août 2013, par arnaud maïsettiles règles que je ne connais pas
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Le Client #6 | « Et si – par hypothèse – »
3 août 2013, par arnaud maïsettiet le goût de désirer, et l’idée d’un désir
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Guy Cassiers et Maud Le Pladec | Produire l’effacement
3 août 2017, par arnaud maïsettiGrensgeval, mise en scène par Guy Cassiers et Maud le Pladec [Avignon In, Parc des Expositions] – juillet 2017
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Layla, à présent je suis au fond du monde | Un projet
28 novembre 2015, par arnaud maïsettiProjet de spectacle, pour une comédienne La Compagnie Le Projet Notes d’intention Écoutons, la confession d’un compagnon d’enfer : « Ô divin Époux, mon Seigneur, ne refusez pas la confession de la plus triste de vos servantes. Je suis perdue. Je suis soûle. Je suis impure. Quelle vie ! « Pardon, divin Seigneur, pardon ! Ah ! pardon ! Que de larmes ! Et que de larmes encor plus tard, j’espère ! « Plus tard, je connaîtrai le divin Époux ! Je suis née soumise à Lui. — L’autre peut me (...)
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D’après Untitled de Zoukak
10 décembre 2018, par arnaud maïsettiIntervention à la journée d’étude « Le théâtre libanais comme forme et écriture de la révolte », Université Libanaise, Beyrouth, 4 décembre 2018
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Théâtre | Les Filles perdues [Prologue]
29 mars 2015, par arnaud maïsettiprendre la parole à l’histoire
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derniers jours des derniers jours [Avignon #4]
24 juillet 2018, par arnaud maïsettiAu théâtre s’accuse leur goût pour le lointain. La salle est longue, la scène profonde. Les images, les formes des personnages y apparaissent, grâce à un jeu de glaces (les acteurs jouent dans une autre salle), y apparaissent plus réels que s’ils étaient présents, plus concentrés, épurés, définitifs, défaits de ce halo que donne toujours la présence réelle face à face. Des paroles, venues du plafond, sont prononcées en leur nom. L’impression de fatalité, sans l’ombre de pathos, est (...)
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Avant-Scène | Autour de La Mouette, de T. Ostermeier (La Criée, Marseille)
10 octobre 2016, par arnaud maïsettiTREPLEV – Des formes nouvelles, voilà ce qu’il nous faut, et s’il n’y en a pas, alors mieux vaut rien du tout. (Il consulte sa montre.) La Mouette, de Tchékhov, mis en scène par Thomas Ostermeier, à Marseille du 12 au 14 octobre – belle occasion d’engager le dialogue avec un travail qui s’impose, depuis plus de dix ans, comme un geste d’envergure pour penser le présent et s’y frotter.
TREPLEV, sans chapeau, portant un fusil et une mouette morte. – Vous êtes seule ? NINA – Oui. (Treplev dépose la (...) -
Sous les arches, Quai Ouest
3 février 2014, par arnaud maïsettiCe lundi, deuxième séance de l’atelier Quai Ouest avec les étudiants d’Aix-Marseille — atelier transversal pour première, deuxième et troisième année de DEUST Arts des métiers de la scène. Jouer avec le texte, plutôt que mettre en scène la pièce : approche de cette machine étrange qu’est cette œuvre de Koltès, immense. Manière de travailler sur la perception, la diction, la relation, l’écriture dramatique qui déjoue les codes de la représentation en les jouant, travail sur l’espace : une approche, oui.
La (...) -
possibilités du théâtre
22 janvier 2010, par arnaud maïsettiSans un élément de cruauté à la base de tout spectacle, le théâtre n’est pas possible.
Antonin Artaud
Travées vides, rangées renversées au passage du regard, plateau abandonné à la pesanteur, poursuites traînées sur un bord du décor arbitraire, sans relief, accessoires éparpillés, costumes déchirés, d’une autre époque, d’un autre rôle pour une autre pièce.
Ma mémoire ressemble à un projet flamboyant et comme laissé en l’état.
Je passe devant lui sans rien toucher de peur qu’en déplaçant un objet tout (...) -
instamment, les guérisons (et la vie en dépeupleur)
8 avril 2012, par arnaud maïsettiElle, assise au milieu de cinq ou six autres, les uns à côté des autres, attendent, et l’un après l’autre, on dit leur nom, ils se lèvent, s’éloignent (depuis combien de temps ne suis-je pas allé chez le médecin ?). Elle est la seule à parler, je la vois bien, de là où je suis, qu’elle dit les mots qu’il faut, qui sous l’anodin dévoile la blessure la plus inavouable, celle qu’elle vient exposer parce qu’elle est là maintenant, au milieu des autres. La vie est un dépeupleur et la salle se vide. La salle (...)
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Enjeux numériques pour les écritures théâtrales
17 avril 2015, par arnaud maïsettiCommunication | colloque À l’écoute des écritures théâtrales émergentes depuis 2000, à Strasbourg, le 15 avril 2015.
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Théâtre | Les tombeaux sont appelés des solitudes, le texte
1er avril 2015, par arnaud maïsettiPourquoi avoir peur
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Koltès | Réécritures, ou le triomphe du bongo
30 janvier 2011, par arnaud maïsettiArticle publié dans la Revue Textuel n°62, éds. Paris VII – juillet 2010