Lui demeure
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_ciels
Articles
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Henri Michaux | « L’Étang »
23 avril 2020, par arnaud maïsetti -
le centre vide de la ville (il y a beaucoup de ciel)
14 novembre 2013, par arnaud maïsettiIl y a beaucoup de mer. Phrase de marin pour dire (je ne sais pas vraiment, j’imagine : une mer formée, avec des creux, des trous, des murs d’eaux soudain qui viennent s’abattre comme des oiseaux morts, des corps de plein désir) — et chaque matin, c’est cette phrase qui me vient pour dire (je ne sais pas vraiment, il y a tant de ciel, comme dire que)
Pour aller vers la ville, et en sortir, passage obligé par la Rotonde — en faire le tour comme d’une centrifugeuse : mais au lieu de prendre de la (...) -
Grenoble | NoWayOut
17 mai 2013, par arnaud maïsettiLire la ville
printemps 13 -
Ontario | Niagara Falls
14 juin 2016, par arnaud maïsettiles chutes
printemps 16 -
Aut viam inveniam aut faciam (un trajet)
14 février 2014, par arnaud maïsettiPour me souvenir de ce jour, je n’ai rien d’autre : quelques images prises à la volée du ciel, en passant vite entre deux portes, deux heures, deux moments où la ville s’ouvre et où je m’engouffre, je crois que c’est cela : une brèche.
Je suis la brèche elle-même, et le mouvement en elle, et la force d’en retenir quelques fragrances, quelques épars dans l’étoilement des choses, la lapidation des regrets, et sur tout cela pèse comme le sentiment de ce qui passe, et ne reviendra plus, et pour cette raison (...) -
Marseille | Ce toit tranquille (entre les tombes)
16 février 2014, par arnaud maïsettihiver 14
de la friche, la mer, la ville, la montagne -
À l’heure dite, soleils couchés
3 novembre 2011, par arnaud maïsettià la minute où le soleil se couche, image fixe
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premiers feux
2 janvier 2011, par arnaud maïsettilumières d’aube
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à présent, comment serait-ce possible ?
13 mai 2021, par arnaud maïsetti13 mai 2021
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Vietnam #6 | visages de la Baie d’Halong maritime
28 novembre 2015, par arnaud maïsettile 11 & 12 octobre
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Vietnam #2 | Vers Sa Pa
26 octobre 2015, par arnaud maïsettile 6 octobre
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Les villes qui n’existent pas | Çatal Höyük
9 juillet 2020, par arnaud maïsettipar les toits de la ville, la ville
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car il ne s’est encore rien passé
18 avril 2020, par arnaud maïsetti18 avril 2020
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au solstice des amants
20 décembre 2016, par arnaud maïsettiM83, ’Outro’, Hurry Up, Dreaming Nous ne nous séparons que pour être plus intimement unis, plus divinement accordés à toutes choses et à nous-mêmes. Nous mourons pour revivre. Je serai : je ne demande pas ce que je deviendrai. Être, vivre est assez, c’est la gloire des dieux. C’est pourquoi tout ce qui est vie, dans le monde divin, ignore l’égalité : il n’y a en lui ni maîtres ni esclaves. Les natures vivent les unes avec les autres comme des amants ; elles ont tout en commun : l’esprit, la joie, (...)
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XI.
24 septembre 2004, par arnaud maïsettiil s’agit maintenant
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jusqu’où la mer échoue
25 septembre 2015, par arnaud maïsettiLa mer ne se retire pas, ici. Elle ne vient pas non plus. Quand elle bat, c’est sur elle-même. Leçon qu’il faut prendre. Dans les insomnies, penser à la mer réveille. Penser au ciel aussi, comme penser à tout ce qui s’échappe de soi entre la mer et le ciel.
Tout réveille, et il faut garder la veille comme le sommeil : à poings fermés, comme une colère contre soi. Journal intérieur de ces nuits tenu en silence.
Reprendre la clarinette. Apprendre à écouter de nouveau son propre souffle. Percevoir que le (...) -
et ce n’est que de là qu’il peut être condamné et détruit.
10 avril 2020, par arnaud maïsetti10 avril 2020
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[Tondi] | Eh non
2 janvier 2014, par arnaud maïsettiévidemment,
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regarde le ciel (et le Mistral tomber)
22 mai 2013, par arnaud maïsettije t’en supplie
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si je tenais un journal (habiter le mot encore)
12 décembre 2013, par arnaud maïsettiDehors, le jour avait cette lumière : celle qui appelait à le rejoindre vite. Oui, comme un ciel qui va se lever, qui se lève déjà — et l’évidence du soir (le miracle devant une couleur qui se teinte depuis le tissu même : elle était déjà là.)
Aucun mot, dans l’éblouissement d’un ciel, quand on sait le jour ; alors s’en tenir à ce seuil de la phrase même, et s’y confier entièrement.
Si je me suis perdu dans les couloirs, je sais maintenant, plus que tout, que c’était pour entendre le Kyrie — qu’au fond c’est (...)