parti un soir
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_ciels
Articles
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Nijinski | « vers une étoile qui ne m’a pas dit bonsoir »
29 janvier 2014, par arnaud maïsetti -
Vietnam #3 | dans les hauteurs des Hmongs
30 octobre 2015, par arnaud maïsettile 7 octobre
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Ontario | Niagara Falls
14 juin 2016, par arnaud maïsettiles chutes
printemps 16 -
Grenoble | NoWayOut
17 mai 2013, par arnaud maïsettiLire la ville
printemps 13 -
Vietnam #2 | Vers Sa Pa
26 octobre 2015, par arnaud maïsettile 6 octobre
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Hong-Kong #3 | Ville monde debout
8 août 2016, par arnaud maïsettila nuit n’existera plus
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Vietnam #6 | visages de la Baie d’Halong maritime
28 novembre 2015, par arnaud maïsettile 11 & 12 octobre
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Vietnam #5 | mirages de la Baie d’Halong terrestre
23 novembre 2015, par arnaud maïsettile 9 octobre
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Vietnam #4 | Sa Pa, dans ses poussières de pluie
4 novembre 2015, par arnaud maïsettile 8 octobre
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Henri Michaux | « L’Étang »
23 avril 2020, par arnaud maïsettiLui demeure
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VIDÉO | Lune d’ici sous vent du Nord
27 décembre 2017, par arnaud maïsettile bruit des choses qui s’éparpillent
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Les villes qui n’existent pas | Atitlán
1er novembre 2017, par arnaud maïsettiun endroit pour vivre jusqu’à y mourir
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Marcher sur les deux rives d’une rivière est un exercice pénible
5 juillet 2018, par arnaud maïsettiMarcher sur les deux rives d’une rivière.
Marcher sur les deux rives d’une rivière est un exercice pénible. Assez souvent l’on voit ainsi un homme (étudiant en magie) remonter un fleuve, marchant sur l’une et l’autre rive à la fois : fort préoccupé, il ne nous voit pas. Car ce qu’il réalise est délicat et ne souffre aucune distraction. Il se retrouverait bien vite, seul, sur une rive, et quelle honte alors !
Michaux, Au pays de la magie Maude Audet, Galloway Road
Toute cette vie serait décidément une (...) -
car il ne s’est encore rien passé
18 avril 2020, par arnaud maïsetti18 avril 2020
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le centre vide de la ville (il y a beaucoup de ciel)
14 novembre 2013, par arnaud maïsettiIl y a beaucoup de mer. Phrase de marin pour dire (je ne sais pas vraiment, j’imagine : une mer formée, avec des creux, des trous, des murs d’eaux soudain qui viennent s’abattre comme des oiseaux morts, des corps de plein désir) — et chaque matin, c’est cette phrase qui me vient pour dire (je ne sais pas vraiment, il y a tant de ciel, comme dire que)
Pour aller vers la ville, et en sortir, passage obligé par la Rotonde — en faire le tour comme d’une centrifugeuse : mais au lieu de prendre de la (...) -
la flamme brûle sans savoir qu’elle existe
22 août 2018, par arnaud maïsetti22 août 2018
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au coucher de soleil (comme une harmonie)
25 août 2013, par arnaud maïsettiDe telles matinées sont réelles, si l’on veut. Mais on y a cette exaltation où la moindre beauté nous grise et nous donne presque, quoique la réalité habituellement ne puisse pas le faire, un plaisir de rêve. La couleur juste de chaque chose vous émeut comme une harmonie, on a envie de pleurer de voir que les roses sont roses ou, si c’est l’hiver, de voir sur les troncs des arbres de belles couleurs vertes presque réfléchissantes, et si un peu de lumière vient toucher ces couleurs, comme par exemple au (...)
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la ville est impossible (ciels d’ouest)
13 mars 2014, par arnaud maïsettiÀ l’ouest est une porte, là que les anciens disaient croire la mort et ils y croyaient tant qu’elle tombait sur eux, chaque jour quand le jour descendait.
Je garde pour moi les images des ruines sur lesquelles tombe le ciel, et peut-être le ciel tombe-t-il pour cela, pour elles et pour le sacrifice qu’elles implorent et que le ciel honore.
Dans cette ville, je me suis longtemps demandé pourquoi demeuraient vides le soir ces larges rues commerçantes près de la rotonde, alors qu’il y a tant de (...) -
les aubes pas encore mortes
1er janvier 2019, par arnaud maïsetti1er janvier 2019
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sur la ligne de crête
5 octobre 2018, par arnaud maïsetti5 octobre 2018