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_ciels
Articles
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[Tondi] | Eh non
2 janvier 2014, par arnaud maïsetti -
les aubes pas encore mortes
1er janvier 2019, par arnaud maïsetti1er janvier 2019
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Marseille | prendre de la hauteur
4 août 2015, par arnaud maïsettiEt respirer, entre deux années, oh, acharné à les écrire, cette vie qui bat trop lentement la mesure de toute une vie, la ville d’ici ; et alors tant pis pour le ciel, tant pis pour la mer, et tant pis pour ce qui en bas passe et s’en va.
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le centre vide de la ville (il y a beaucoup de ciel)
14 novembre 2013, par arnaud maïsettiIl y a beaucoup de mer. Phrase de marin pour dire (je ne sais pas vraiment, j’imagine : une mer formée, avec des creux, des trous, des murs d’eaux soudain qui viennent s’abattre comme des oiseaux morts, des corps de plein désir) — et chaque matin, c’est cette phrase qui me vient pour dire (je ne sais pas vraiment, il y a tant de ciel, comme dire que)
Pour aller vers la ville, et en sortir, passage obligé par la Rotonde — en faire le tour comme d’une centrifugeuse : mais au lieu de prendre (…) -
Vietnam #2 | Vers Sa Pa
26 octobre 2015, par arnaud maïsettile 6 octobre
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Autre Savoir | L’univers miscroscopique
3 janvier 2018, par arnaud maïsettiminuscules
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l’imminence, peut-être
8 avril 2018, par arnaud maïsetti8 avril 2018
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Respice finem (sous les hurlements d’oiseaux fous)
12 février 2014, par arnaud maïsettiJ’aurai marché lentement dans le soir. La lune est haute, presque ronde. À la verticale des arbres, elle semblerait tomber. Et toujours le cri des mouettes à la mort. Je me serai demandé pourquoi. En rentrant, j’aurai penché pour le soleil, parce que le soleil s’éloigne, elles hurlent. Ou ce sont eux qui le chassent, peut-être. Les mouettes chaque soir rejouent la cérémonie sacrée de la fin d’un monde qui recommence chaque soir de recommencer. Je serai rentré en ralentissant davantage pour (…)
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entre les tours
21 octobre 2011, par arnaud maïsettiDes corps irréels, tendus sur l’arrière fond de ce monde comme une toile peinte sur les théâtres fabriqués jadis pour les histoires. Mais l’histoire est passée, on n’en connaît plus. À la place, on construit des grandes villes qu’on ne sait pas habiter. Décors fabuleux, mais dont la fable est cette rêverie intérieure qu’on jette sur ces tours, et qu’on formule malgré elles, pour mieux les entendre, ou mieux les voir. Laideurs objectives des quartiers d’affaires qu’on transforme par le biais (…)
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Henri Michaux | « L’Étang »
23 avril 2020, par arnaud maïsettiLui demeure
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La Ciotat & Cadolive | Sur les hauteurs
21 novembre 2017, par arnaud maïsettiprendre le vent
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Jrnl | Alors que l’ombre peut tenir
5 mai 2024, par arnaud maïsettiDimanche 5 mai 2024
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comme le mur sent la pointe du clou qu’on doit enfoncer en lui
6 mai 2020, par arnaud maïsetti6 mai 2020
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Sous les arches, Quai Ouest
3 février 2014, par arnaud maïsettiCe lundi, deuxième séance de l’atelier Quai Ouest avec les étudiants d’Aix-Marseille — atelier transversal pour première, deuxième et troisième année de DEUST Arts des métiers de la scène. Jouer avec le texte, plutôt que mettre en scène la pièce : approche de cette machine étrange qu’est cette œuvre de Koltès, immense. Manière de travailler sur la perception, la diction, la relation, l’écriture dramatique qui déjoue les codes de la représentation en les jouant, travail sur l’espace : une (…)
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Montpellier, en partant (de la grue, des bancs et des valises défaites)
30 novembre 2013, par arnaud maïsettiLa source et l’essence de notre richesse sont données dans le rayonnement du soleil, qui dispense l’énergie – la richesse – sans contrepartie. Le soleil donne sans jamais recevoir.
G. Bataille.
Dans les villes où ne passer que deux jours, il n’y a que des trajets et aucune mémoire : reste la trace de comment les directions s’organisent, et c’est tout. Deux jours à Montpellier, quand j’ai fermé la chambre d’hôtel, j’ai vérifié d’un regard n’avoir rien oublié : en réalité, j’avais à (…) -
foules du présent, images de ces jours
30 juillet 2016, par arnaud maïsettiUne foule immense, compacte, silencieuse, s’était levée, peut-être un matin, un soir : on ne savait pas. Quand on passait auprès d’elle, on cherchait à y tirer une leçon : il n’y en avait pas. C’était peut-être cela, la leçon : foule qui était, de ces semaines, l’image parfaite, terrible et calme sous le jour. Immense, compacte, et silencieuse, et qui ne réclamait rien que d’être ici, foule sous le jour, commune appartenance au désir de commune.
De loin, on avait l’impression que la foule (…) -
comment je pourrais le dire (ainsi)
11 mai 2013, par arnaud maïsetticomment le ciel, et le jour ensemble, et comment marcher quand la ville partout est levée devant soi de murs de verre, comment dire le verre quand il n’est plus qu’un mur et le mur quand on le rêve de terre et qu’on y plongerai les pas pour en marcher la durée : comment ; comment aller jusqu’à l’endroit où faire la chaîne pour dire nous faisons la chaîne et ici nous disons à qui je tiens la main et dans la main de qui je suis tenu, comment quand il faudrait ici lire chaque pont pour vérifier (…)
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de son ombre
4 septembre 2013, par arnaud maïsettije vois des spectres nouveaux roulant à travers l’épaisse et éternelle fumée de charbon, − notre ombre des bois, notre nuit d’été ! − Rimb., Ville
et on ne saute pas au-dessus de son ombre, -
Respiration #7 | là-bas
19 avril 2020, par arnaud maïsettiMarseille, Grand-Large
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quelles forces reste-t-il à l’esprit qui divague
29 avril 2020, par arnaud maïsetti29 avril 2020
