je ne suis pas d’accord
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_ville
Articles
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La Ville écrite | éphémère, désespoir pour l’éternité
9 décembre 2013, par arnaud maïsetti -
Paris 5e | fuir les murs
6 août 2014, par arnaud maïsettirue Tournefort
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La Ville écrite | Secret des ratures d’Allah
1er juin 2015, par arnaud maïsettila vérité
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La ville écrite | je veux rencontrer quelqu’un
8 janvier 2019, par arnaud maïsettije vis ici
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La Ville écrite | faire
9 août 2016, par arnaud maïsettimais quoi
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Hypothèse #3 | de quelqu’un
19 avril 2019, par arnaud maïsettiJe lis, sur le mur virtuel d’une amie, ceci
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comment je pourrais le dire (ainsi)
11 mai 2013, par arnaud maïsetticomment le ciel, et le jour ensemble, et comment marcher quand la ville partout est levée devant soi de murs de verre, comment dire le verre quand il n’est plus qu’un mur et le mur quand on le rêve de terre et qu’on y plongerai les pas pour en marcher la durée : comment ; comment aller jusqu’à l’endroit où faire la chaîne pour dire nous faisons la chaîne et ici nous disons à qui je tiens la main et dans la main de qui je suis tenu, comment quand il faudrait ici lire chaque pont pour vérifier son nom et (...)
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La Ville écrite | Laisse-moi
12 novembre 2015, par arnaud maïsettiton cœur est un temple
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l’horizon qui encercle (et donner le change)
9 mai 2013, par arnaud maïsettiDonner le change, j’ai eu cette expression en tête tout le jour, elle m’est venue je ne sais pas pourquoi, alors que je lisais ces pages de Michelet (en fait, bien sûr, je sais pourquoi - et j’ai pris mille notes) : lecture, d’une haleine, du Livre 6 de La Révolution Française, décembre 1792, j’ai passé du temps pour choisir cette date, maintenant je sais que c’est là, enfin, je sais que c’est janvier, et qu’il faut comprendre décembre pour cela, Vergniaud, surtout, est la clé. Je n’ai rien vu du matin (...)
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Aubes | XVI. (N’importe où hors du monde)
18 mars 2014, par arnaud maïsettiseizième chapitre
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La Ville écrite | KafKafKafKa
12 février 2016, par arnaud maïsettile gardien des portes
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Le Client #18 (et fin) | « Alors, »
17 août 2013arme
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en attendant le bateau (folie des assauts)
26 août 2013, par arnaud maïsettiIl n’y a que l’eau, les femmes et la mort, qui nous prennent dans notre nudité. Nous changent.
G. Perros
La rentrée comme une grande retraite au large. Dans les regards des gens, je le voyais, c’était aujourd’hui : aujourd’hui qu’on concéderait sa vie à la vie réelle. Me suis assis au même café, au même endroit, à la même table, repris la ligne là où je l’avais laissée hier, l’ai tirée là où je l’ai pu ce soir, là où je la reprendrai demain matin ; j’avais oublié qu’il pouvait faire froid.
Entendu, à la (...) -
enjamber le pont, la nuit
26 février 2013, par arnaud maïsettiarcueil est un couloir noir
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et frôler la lumière
28 janvier 2014, par arnaud maïsettidoucement
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tremblée de la ville parallèle
16 avril 2013, par arnaud maïsettiville d’avray, c’est tout droit
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La Ville écrite | [enc•re.]
22 juin 2012, par arnaud maïsettimur yiddish
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laisser le monde derrière soi
11 décembre 2012, par arnaud maïsettide Cour-Saint-Émilion à Bercy… et de Bercy à Gare de Lyon
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Fable de la ville ravagée
1er juin 2015, par arnaud maïsettiC’est juste en face, et tous les jours en descendant, je le vois. Cette immeuble recouvert d’abord de tous les soins ; les échafaudages, longtemps, dans l’indifférence. Puis, c’est un matin comme un autre qu’on détruit la ville : on lèvera ici un immeuble identique. Je reste là comme quelques-uns – nous sommes quelques-uns à n’avoir rien à faire d’autre ce matin-là. Rien d’autre que regarder la ville tomber par morceaux dans le bruit de la poussière qu’on arrose pour qu’elle soulève moins de poussières : on (...)
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écrire (dans) les entrailles de la vallée de Saint-Pons
30 juillet 2017, par arnaud maïsetti30 juillet 2017