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_ville
Articles
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La Ville écrite | [enc•re.]
22 juin 2012, par arnaud maïsetti -
laisser le monde derrière soi
11 décembre 2012, par arnaud maïsettide Cour-Saint-Émilion à Bercy… et de Bercy à Gare de Lyon
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Fable de la ville ravagée
1er juin 2015, par arnaud maïsettiC’est juste en face, et tous les jours en descendant, je le vois. Cette immeuble recouvert d’abord de tous les soins ; les échafaudages, longtemps, dans l’indifférence. Puis, c’est un matin comme un autre qu’on détruit la ville : on lèvera ici un immeuble identique. Je reste là comme quelques-uns – nous sommes quelques-uns à n’avoir rien à faire d’autre ce matin-là. Rien d’autre que regarder la ville tomber par morceaux dans le bruit de la poussière qu’on arrose pour qu’elle soulève moins de poussières : on (...)
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écrire (dans) les entrailles de la vallée de Saint-Pons
30 juillet 2017, par arnaud maïsetti30 juillet 2017
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des lieux comme des secrets
20 juin 2017, par arnaud maïsetti20 juin 2017
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au bord des quais
30 janvier 2015, par arnaud maïsettiOn rêve aux quais. On pourrait toucher ce qui de l’autre côté nous sépare de la mer. On se tient au bord, davantage encore. On tend alors la main, on ne touche que des murs. On se retourne, il y a seulement de la ville, qui s’étend plus loin. On rentre, on couche son corps contre son propre corps épuisé. On ferme les yeux sur un jour perdu dans la bataille qu’on n’a pas assez défendu.
Ces cris posés sur les murs sauvent, parfois ; ils disent tout n’est pas perdu, tant qu’il y aura ces cris, il y aura (...) -
comme si la clarté ne valait pas le vague
24 juin 2020, par arnaud maïsetti24 juin
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Koltès | Lettre de Tikal
15 avril 2014vingt-cinq après la mort de Koltès
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La Ville écrite | officielles
30 juin 2016, par arnaud maïsettipourquoi « la vie » nous avait séparés
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La Ville écrite | Queer-anarco (squatters)
7 février 2016, par arnaud maïsettimort au cadastre
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La Ville écrite | Marseille : vivez,
31 mai 2016, par arnaud maïsettiréjouissez vous
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Marseille Belle de Mai | les murs de cette ville
3 décembre 2014, par arnaud maïsettides mots qui ne sont pas prononçables, pas lisibles — et on lirait sur eux autre chose ; seulement des coups qu’on porterait au visage de ce qui n’en a pas ; des phrases sans point sans majuscule sans verbe sans forme possible donnée au sens ; et des appels ; des signes sur les parois d’une ville — et déjà entendre ceux qui hurlent les yeux crevés devant ce qui formule la fin d’une civilisation : ne voient pas que se dresse là quelque chose qui relève d’un plan secret pour en inventer une autre — ; des (...)
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Le Client #14 | « Méfiez-vous du client »
13 août 2013et qu’il obtiendra finalement
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l’or du soir (dernier regard sur la ville)
30 août 2013, par arnaud maïsettiAvec l’or du soir qui tombe, laisser retomber en soi la ville elle-même, et toute la poussière de ville qui se soulève une dernière fois pour se poser sur chaque chose dans le plus grand des silences au milieu des sirènes que la nuit fait tourner, sur elle-même – dernière heure du jour, comme si la ville une dernière fois cherchait à se voir, chant du cygne, de la lumière éclaboussée dans un dernier jet pour s’y chercher davantage, les secousses avant le repos – ; de tout cela, il n’y aura bientôt plus (...)
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Hong-Kong #3 | Ville monde debout
8 août 2016, par arnaud maïsettila nuit n’existera plus
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Passant, aux amandiers
10 avril 2013, par arnaud maïsettiTrente-trois fois les amandiers du square
printemps 13 -
pensées, flottements et dévorations (transfuges)
27 septembre 2013, par arnaud maïsettiL’imitation de la vie brouille la frontière avec la mort. Dans les plis de la frontière les deux mondes échangent des transfuges.
Robinson
Métro, RER – heure de pointe (jamais su le sens de l’expression) : le rythme lent et frénétique de la ville qui va, qui s’arrête, qui va, qui s’arrête, comme cela sur des kilomètres de ville tandis qu’on passe sous elle sans la voir, pourrait aller plus vite tant qu’à filer ainsi – et je pense doucement au berger des Basses-Alpes, qui se plaignait que l’Europe lui (...) -
Aubes | VI. (La lumière frappait le sol)
2 mars 2014, par arnaud maïsettisixième chapitre
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un rayon blanc anéantit cette comédie
6 novembre 2013, par arnaud maïsetti12 images du ciel dans le soleil
automne 13 -
Paris dans Hanoi le soir
9 octobre 2017, par arnaud maïsettiPeut-être me direz-vous : « Es-tu sûr que cette légende soit la vraie ? » Qu’importe ce que peut être la réalité placée hors de moi, si elle m’a aidé à vivre, à sentir que je suis et ce que je suis ? Baudelaire, « Les fenêtres », Petits poèmes en prose, 1869.
Angel Olsen, « Windows », (Burn Your Fire for No Witness, 2014
Paris : en coup de vent, comme on dit. D’une ville à l’autre, je perds dix degrés et le mistral. Ici, c’est de nouveau les grandes rues larges, la noirceur rapide des choses, les cafés (...)