le 9 octobre
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_la pluie
Articles
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Vietnam #5 | mirages de la Baie d’Halong terrestre
23 novembre 2015, par arnaud maïsetti -
Passant, aux amandiers
10 avril 2013, par arnaud maïsettiTrente-trois fois les amandiers du square
printemps 13 -
Grenoble | NoWayOut
17 mai 2013, par arnaud maïsettic’était encore des départs, sous des hangars bordés d’aucun fleuve
et à l’arrivée, la même gare, seulement la nuit disait : c’est une autre
la chambre sans fenêtre, sans bureau, comme une cabine de bateau (mais là encore, la mer nulle part ne venait battre)
au matin, cerné de partout : la montagne
les abris-bus en forme d’abri-bus, perplexe
et l’attente dans la fac, une allégorie
sur le campus, des passerelles là depuis mille ans, qui tenaient de tout l’ennui qui les avait inventées
j’ai cherché (...) -
autoportrait à la flaque
29 juillet 2012, par arnaud maïsettinarcisse
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Hong-Kong ville haute, et le nom de ces murs
24 octobre 2015, par arnaud maïsettiLa ville, avec sa fumée et ses bruits de métiers, nous suivait très loin dans les chemins. Ô l’autre monde, l’habitation bénie par le ciel et les ombrages ! Rimb., « Ouvriers », Illuminations Hong-Kong est un mur. Un mur percé de lumières et de bouches d’ombres, un mur levé d’innombrables murs dont pas un ne se ressemble. De Marseille au retour, c’est le souvenir qui reste et insiste. Dès la sortie de l’avion jusqu’au ciel. Un mur non pas d’enceinte, mais intérieur. Dans la ville, le temps d’une escale – (...)
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De ce côté du ciel
13 janvier 2017, par arnaud maïsettile départ gare de Lyon
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afin de te changer en celui que tu es
21 avril 2020, par arnaud maïsetti21 avril 2020
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Amor fati (changer le passé)
10 février 2014, par arnaud maïsettiLe vent immense, dont je mesure la force aux arbres sur les routes, arrachées, éparpillées.
La pluie si forte en torrents minuscules pentes sur les routes, qui dévalent ; j’attends à l’abri-bus qu’elle se calme, elle redouble, je sors alors et pendant une demi-heure affronte le déluge (je suis vaincu), je rejoins la salle où pendant six heures je parlerai de Quai Ouest, quand j’arrive la pluie cesse.
La phrase de l’étudiante dans son dossier : Changer le passé.
Rentrer, sans voix dans la gorge (...) -
Sit tibi terra levis (je veille)
5 février 2014, par arnaud maïsettiCe sont de grandes pluies, sur fond de ciel complètement évanoui, entre nous et lui quelque chose qui appartient à la déchirure, et le long d’elle s’écoule la peine qu’il faut pour la rejoindre, comme des larmes sans cesse, sur fond d’aucune tristesse — cette phrase que j’entends pour la première fois, comme une émotion comme éprouverait pour la première fois :
« La douleur est comme une souffrance qui n’a trouvé personne pour la vivre »
Je marche le long de cette pluie, et à travers elle et sur elle, (...) -
ce n’est pas la pluie
26 novembre 2018, par arnaud maïsetti26 novembre 2018
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